Nov
25
Caillebotte, lumière froide et gay panic (Musée d'Orsay)
Détail d'un des Raboteurs de parquet, 1875
Vue d'exposition avec la grand tableau de l'Art Institute de Chicago: Vue de Paris, temps de pluie; Intersection de la Rue de Turin et de la Rue de Moscou, 1877.
Séduite par l'exposition Caillebotte et ses cartels*, je me suis trouvée abandonnée par les critiques paresseuses où bourdonne un "anti-wokisme" basique**. C’est toujours un peu énervant de voir qu’ils (des hommes, pour la plupart comme par hasard mais il y a eu aussi des femmes sur France-culture) n’ont probablement pas fait le travail de base, c’est-à-dire de revenir aux textes de l'historiographie « classique ». Ces classiques sont anglo-saxons et souvent non traduits, comme beaucoup de ce qui concerne l’histoire des artistes français·es de la deuxième partie du XIXe siècle.
Vue d'exposition avec la grand tableau de l'Art Institute de Chicago: Vue de Paris, temps de pluie; Intersection de la Rue de Turin et de la Rue de Moscou, 1877.
Séduite par l'exposition Caillebotte et ses cartels*, je me suis trouvée abandonnée par les critiques paresseuses où bourdonne un "anti-wokisme" basique**. C’est toujours un peu énervant de voir qu’ils (des hommes, pour la plupart comme par hasard mais il y a eu aussi des femmes sur France-culture) n’ont probablement pas fait le travail de base, c’est-à-dire de revenir aux textes de l'historiographie « classique ». Ces classiques sont anglo-saxons et souvent non traduits, comme beaucoup de ce qui concerne l’histoire des artistes français·es de la deuxième partie du XIXe siècle.