Bérénice Reynaud, as Camille, in No Trifling with Love. 1981 (Photo: Gerald Incandela)

La première fois que je vis Bérénice » (Aragon) – c’était un peu après mon arrivée à New York, fin 1979, grâce à notre incroyable ami commun, l’artiste Emil Forman (1953-83)  avec lequel elle partageait une façon astronomique d'être en retard. Béré faisait une fête. J’étais  au 7è ciel, saisie à la fois par son intensité intellectuelle, sa culture tenace des avant-gardes et son intérêt pour la psychanalyse, accentués par un rire énorme (et assez salace) et un look de Callas (ajouté à une absence totale de sens de l’orientation).  Un peu plus tard, toujours à New York ont débuté les répétitions de No Trifling with Love, On ne badine pas avec l’amour, mise en scène Rudy Laurent (1951-1991.
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