Une question a taraudé, de Bâle à Paris, mon voyage de retour asséché (sans boire ni manger, telle est désormais l'interdiction faite aux voyageur·se·s). Pourquoi l'exposition Goya à la Fondation Beyeler m'a-t-elle tellement époustouflée? Ce pourquoi n'est qu'une autre façon de dire le comment qui s'y loge. Je me demande en réalité comment "ça se fait“ que ce musée, un musée d'art moderne, conçu dans les 1980-90's par Renzo Piano  pour la Fondation Beyeler (comme à Houston pour les de Ménil) ait produit une exposition, qui réussisse à la fois :

(1)- à être  conséquente sans qu'on ait à requérir à des superlatifs (la plus, la plus, la plus) (2)- à réunir cent soixante-dix oeuvres de partout.
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