Dec
29
David Medalla (1942-2020)
Adam Nankervis et David Medalla en photo sur un carton d'invitation à la Galerie Gutharc en 1997
Mon ami John Tain l'appelle un génie. D'autres le qualifient de magicien. D'aucuns parlent de merveille. Le critique Guy Brett évoque: “le beau, le défectueux, l'enchanté, le raté, le grunge, les mystères, les sagesses, les tristesses, le risible, le drôle, l'embarassant, le tendre" comme faisant également partie de son domaine. J'ai eu envie de nommer "so(u)rcière" flamboyante David Medalla, pensant au masque qu'il m'a offert, et qui est toujours là, scotché, chez nous. Car il ouvre un horizon queer à l'art c'est à dire une potentialité évanescente et fugace, mais qui ne disparaît jamais complètement : celle d'un espace mental où la notion d'artiste, elle même, flambe et se renouvelle.
Mon ami John Tain l'appelle un génie. D'autres le qualifient de magicien. D'aucuns parlent de merveille. Le critique Guy Brett évoque: “le beau, le défectueux, l'enchanté, le raté, le grunge, les mystères, les sagesses, les tristesses, le risible, le drôle, l'embarassant, le tendre" comme faisant également partie de son domaine. J'ai eu envie de nommer "so(u)rcière" flamboyante David Medalla, pensant au masque qu'il m'a offert, et qui est toujours là, scotché, chez nous. Car il ouvre un horizon queer à l'art c'est à dire une potentialité évanescente et fugace, mais qui ne disparaît jamais complètement : celle d'un espace mental où la notion d'artiste, elle même, flambe et se renouvelle.