Nov
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L'utopie, et après: le programme non binaire de Kobro et Strzemiński (Centre Pompidou)
Vues de l'exposition Une avant-garde polonaise - Katarzyna Kobro et Władysław Strzemiński
Rien que pour cette salle -pour elle, au minimum- le déplacement est obligatoire. Une salve de sculptures installée sur des socles –malheureusement sous cloche- interagit avec une salve de peintures les entourant sur tous les côtés. Salve est certainement un mot qu’auraient trouvé "baroque" Katarzyna Kobro (1898-1951) et Wladyslaw Strzemiński (1893-1952)- prononcer "Stchemignski"- ici exposés dans la logique du "couple d’artiste", non comme une entité productrice d’une œuvre commune, mais plutôt d’un discours commun entre, disons, 1922 et 1936, et appelé, à partir de 1931, "Unisme".
Rien que pour cette salle -pour elle, au minimum- le déplacement est obligatoire. Une salve de sculptures installée sur des socles –malheureusement sous cloche- interagit avec une salve de peintures les entourant sur tous les côtés. Salve est certainement un mot qu’auraient trouvé "baroque" Katarzyna Kobro (1898-1951) et Wladyslaw Strzemiński (1893-1952)- prononcer "Stchemignski"- ici exposés dans la logique du "couple d’artiste", non comme une entité productrice d’une œuvre commune, mais plutôt d’un discours commun entre, disons, 1922 et 1936, et appelé, à partir de 1931, "Unisme".