Oct
26
Trans-positions : Paula Rego à L'Orangerie
Prey (Proie), 1986. In the Garden, 1986
The Maids (Les Bonnes), 1987.
Dog Woman (Femme-Chien),1994 et Scavengers (Charognard·e·s), 1994
Ce n’est pas une exposition à la vue de laquelle on s’esbaudit. Sublime, la peinture de Paula Rego ne l’est pas. Pas facilement, en tout cas. C’est plutôt du côté du malaise que promène cette peinture figurative, fastueuse dans sa texture, et où les êtres humains, créatures ou animaux représentés sans complaisance s’imposent, comme tirés par une force de gravité qui les met là, qu’on n’évite pas, qu'on ne peut pas éviter. Chaque corps s'impose, vissé au tableau par une visibilité elle aussi sans complaisances:
picturale .
The Maids (Les Bonnes), 1987.
Dog Woman (Femme-Chien),1994 et Scavengers (Charognard·e·s), 1994
Ce n’est pas une exposition à la vue de laquelle on s’esbaudit. Sublime, la peinture de Paula Rego ne l’est pas. Pas facilement, en tout cas. C’est plutôt du côté du malaise que promène cette peinture figurative, fastueuse dans sa texture, et où les êtres humains, créatures ou animaux représentés sans complaisance s’imposent, comme tirés par une force de gravité qui les met là, qu’on n’évite pas, qu'on ne peut pas éviter. Chaque corps s'impose, vissé au tableau par une visibilité elle aussi sans complaisances:
picturale .