Nu de face I , vers 1928 ‒Collection particulière, Paris. Toutes photos ©Fautrier-Adagp, Paris

L'homme ouvert (L'Autopsie) vers 1928. Musée des beaux-arts, Dijon

Nature morte aux poires, vs 1927. Kunstmuseum Winterthur.

Roses I, vers 1929. Coll part.

Buste de jeune femme, 1939. Coll.Part.

Dans l'exposition, c'est surtout la première "partie "de son oeuvre qui flambe. Celle d'avant-guerre (sur laquelle avait également mis l'accent la rétrospective de 1989 dans le même musée); celle d'avant les Otages, qui ont fait la légende ambigüe d'un Jean Fautrier face et dans l'histoire (*).
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La contrepartie lesbienne de la musique disco gay des années 1970, ai-je lu quelque part, pourrait bien-être cette expérience sonore immersive, que Pauline Oliveros a  définie comme "deep listening". Même si, musicalement, les deux expériences de la réverbération du son n'ont rien à voir l'une avec l'autre, il faut se rendre à l'évidence : ces deux usages de la musique électronique expérimentent avec la durée et l'endurance extrêmes.

Vue d'installation. La première salle, avec à gauche Off the Rails (Ahmedabad), sur le sol Shoes, 2016 et au mur Detached, 2012 et Seamless, 2010. Toutes photos © Lisa Milroy

Le marché de l’art s’est éloigné d’elle il y a une dizaine d’années. C’est sa première grande expo personnelle depuis ce temps (*) et elle se tient dans le vaste – ou plutôt les vastes- cubes blancs de la fondation Parasol Unit (**) à Londres.

vues d'exposition. 

L'Espace d'art contemporain d'HEC à Jouy en Josas se situe, si j'ai bien compris, dans une résidence universitaire. Le soir de l'inauguration, quelques étudiant·e·s en tenue de jogging entraient et sortaient en courant par le couloir entre les salles d'expositions, qui sont montrées dans les photos ci-dessus depuis l'extérieur, par leurs vitrines. Sauf la dernière, où on voit les baies vitrées et le dehors. Sans doute marque-t-elle une interruption dans la narration.
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