Sur son blog, Louise Gray écrit :

"Pauline Oliveros – artiste, amie de si nombreux compositeurs, compositrice, à l'écoute (listener), à l'écoute profonde (deep listener)— est morte hier le jour de Thanksgiving. Ione, son épouse et sa partenaire en beaucoup de choses, en particulier dans la pratique de l'écoute profonde, a posté la nouvelle sur Facebook et les hommages ne cessent d'affluer, comme il se doit, car Pauline a été une personne qui a changé des mondes et qui a changé le monde musical. Ceci n'est pas une hyperbole." 

Je reposte ici un bout de ce que j'avais écrit ici (à propos d'une des pièces filmiques de Pauline Boudry/Renate Lorenz reprenant une pièce de Pauline Oliveros)

Cinq lignes sur Wikipedia.

Sigmar Polke, Gegen die zwei Supermächte. Für einte Rote Schweiz (Contre les deux superpuissances. Pour une Suisse rouge. 1è version, 1976. Spray sur papier, pochoir. 

Coll Ludwig, Aix La Chapelle.

J'avoue. Je n'ai pas envie de parler d'une exposition qui ne m'a pas soulevée, et bien plutôt mise mal à l'aise. Je n'aime pas faire ça.
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Vues d’ensemble de l’exposition. Bühnen Archiv Oskar Schlemmer  © Centre Pompidou-Metz / Photo Jacqueline Trichard / 2016 / Exposition Oskar Schlemmer. L’homme qui danse

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Vues d’ensemble de l’exposition. Bühnen Archiv Oskar Schlemmer  © Centre Pompidou-Metz / Photo Jacqueline Trichard / 2016 / Exposition Oskar Schlemmer. L’homme qui danse

De g. à dr.

GRRR! "Not ready to make nice", pas prêtes à faire la paix, pas prêtes à concéder le moindre pouce de terrain. 

Le titre anglais de l'exposition résonne d'autant plus fort après l'élection de Trump et son premier choix pour la Maison Blanche: celui de Steve Bannon, son dernier chef de campagne connu pour ses opinions à l'extrême de l'extrême droite, comme stratège en chef (Depuis quand avons nous oublié que Patrick Buisson était stratège en chef de Nicolas Sarkozy?).

Je reproduis ici l'un des nombreux articles que Tim Lawrence, l'auteur de Life and Death on the American Dancefloor 1980-83  (son dernier ouvrage) a consacrés à David Mancuso, à commencer par son premier livre, Love Saves the Day: A History of American Dance Music Culture, 1970-79, dont les premiers exemplaires furent d'ailleurs distribués lors de la soirée du 34è anniversaire du Loft à New York.

.... Et comment rendre compte d'une exposition spectaculaire sans avoir le droit de la photographier....

Monkey, 2000. Tirage Fujiflex et cadre de bois laqué

"0,10", zéro dix,  fut  "la dernière exposition futuriste de peinture", à la galerie Madame Dobychina de Saint-Petersbourg en décembre 1915, avec Kazimir Malevich et son Carré Noir, Liubov Popova, Olda Rozanova; Nadezhda Udaltsova, Vladimir Tatlin et ses Contre-reliefs, Maria Vasilyeva, Natan Altman, Vera Pestel. En tout quatorze "artistes professionnels" : ce slogan de Tatlin résonnant contre celui du Suprématisme de Malevich.

Sous le titre 144 years,  Joy Episalla a réalisé, pour l'ICP de New York, trente et un portraits photographiques qui condensent les traits des trente et une femmes ayant fait campagne et reçu l'investiture de leur parti pour l'élection à la présidence des Etats-Unis entre 1872 et 2016.

"Surprise et choc" sont les mots de la journaliste luxembourgeoise France Clarinval, lorsqu'elle - et, très vite, le Comité international des musées d'art moderne (CIMAM) et les artistes ami.e.s- ont appris la démission d'Enrico Lunghi de la direction du Mudam (Musée d’art moderne Grand-Duc Jean).

Une halte contemplative au Panorama géant de la ville de New York (conçu pour la World's Fair de 1964-65 et restauré en 1992), qui constitue le trésor du Queens Museum, permet de faire l'expérience d'un son et lumière inattendu aussi bien qu'éphémère. A certains moments, en effet, des loupiottes de couleur  (cf.
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