Reçu cet extrait d'un article du Quotidien de l'Art.

"En marge d’Art Basel Hong Kong, [les organisateurs suisses de la foire de Bâle] viennent de dévoiler une nouvelle initiative, Art Basel Cities. Tirant profit de son expertise et de son réseau dans le domaine de la culture, fruits de ses activités dans le marché de l’art, Art Basel va proposer de conseiller des villes et de les accompagner dans la mise en place d’une offre culturelle de niveau international. Selon Patrick Foret, directeur du département des Business Initiatives d’Art Basel, interrogé par le Financial Times, l’objectif est de permettre à chaque ville « de développer son paysage culturel unique », après une période d’audit de plusieurs mois.

Un post pour deux: l'ouverture de la Villa Vassilieff et l'exposition Dakar 66 au musée du Quai Branly. Leur association ici n'est pas complètement fortuite. Et d'abord parce que s'en occupent des personnes grosso modo d'une même génération, qui se connaissent, travaillent, peut-être, ensemble. Ce sont Virginie Bobin et Mélanie Bouteloup pour Vassilieff, une dépendance de Bétonsalon.
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Vues d'exposition galerie Jocelyn Wolff (-et détail du grand pochoir)

Colette Brunschwig. Si son nom dit quelque chose, c'est- en tout cas pour ce qui me concerne- par le biais de son analogie avec Cécile Brunschwig, personnalité politique, soroptimiste, féministe, l'une des premières femmes secrétaires d'Etat, en l'occurrence à l'éducation nationale avec Jean Zay durant le Front Populaire. L'artiste, c'est Colette Brunschwig.

On ne saura pas grand chose de la vie d'Oleg Nikolaevitch Karavaichuk en sortant du portrait merveilleux que lui consacre Andres Duque, et qui est de bout en bout en sympathie avec son sujet. Mais on sait l'essentiel. Oleg ressemble énormément à Violette Leduc. Oleg a voué à l'improvisation et la composition au piano l'ensemble de ses jours. Oleg a 88 ans.

En 2012, le géant pétrolier BP communiquait haut et fort ses contrats de sponsoring passés avec quatre prestigieuses institutions culturelles britanniques, le conglomérat de la Tate, le British Museum, le Royal Opera House et la National Portrait Gallery, pour environ £10 million sur cinq ans.

Hier, Tate est devenue la première de ces institutions à annoncer la fin de sa relation controversée avec le géant pétrolier, qui lui apporte environ  £224,000 par an.

Pendant le débat ouvert à la suite des deux heures et demi de projection de Suite Armoricaine, de Pascale Breton, des voix bretonnes à Paris ont tout de suite pris la parole. Emues, elles retrouvaient leurs lieux, leurs "scènes" musicales des années 1980 et surtout, l'Ar Brezhoneg, leur langue bretonne, celle de leur enfance ou de leur adolescence. Ce qui n'est pas mon cas, même si "moi aussi, j'ai des ami-e-s breton-ne-s." Hell oui, le film se passe à Rennes.
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Ce n'est pas tous les jours que notre histoire LGBTQI s'augmente d'un chapitre. C'est, discrètement, ce que fait la reproduction en fac-similé publiée en janvier 2016 d'Inversions et de l'Amitié. Non seulement le reprint rend possible la lecture intégrale des pages de la revue. Mais la préface, que donne Michel Carassou, revenant sur les traces de sa première étude, à la fin des années 1970, apporte des éléments qui nous ont laissées béates (merci à CG de m'en avoir parlé).
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1- Préambule

Groupe J.-P. Vernant ‏@Gjpvernant 12 hil y a 12 heures

L'un: ton régime autoritaire, ça progresse? L'autre: on fait aller. Surveillance de masse, état d'urgence infini... 

(Tweet trouvé hier lundi matin)

2- Pendant ce temps...
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