Mercredi dernier à 19h30, la joyeuse équipe de joueuses de foot des Dégommeuses s'apprête à occuper le terrain qui lui est attribué jusqu'à 21h par la mairie du XXè arrondissement. L'entraîneur d'une équipe d'enfants, bénéficiant du créneau horaire précédent sur le même terrain, n'entend manifestement pas céder la place: après avoir ordonné à son équipe de rester sur le terrain, il devient de plus en plus agressif, passant aux insultes puis aux menaces physiques.

Choquées par son ton de voix et ses mots grossiers, les joueuses ont d’abord demandé à l’entraîneur de se calmer en lui faisant remarquer qu’il donnait un mauvais exemple aux enfants dont il avait la charge.

Dans le Parisien:

"La Villa Vassilieff, nouvel espace dédié aux arts visuels qui sera géré par l'association Bétonsalon, doit ouvrir en septembre, au 21, avenue du Maine. L'artiste Marie Vassilieff y préparait la tambouille pendant la Première Guerre mondiale pour des peintres comme Picasso, Braque ou Modigliani. Depuis, le lieu n'a jamais cessé d'être occupé par des artistes. Jusqu'en octobre, il abritait le Musée du Montparnasse."

Bref, les peintres peignent et l'artiste fait la popotte.

Je traduis ici des sites Hyperallergic et Jezebel:

Le 17 janvier,  un ensemble de performers appointés par Loris Gréaud casse environ la moitié des oeuvres de l'exposition de l'artiste au Dallas Contemporary,  au beau milieu de la soirée privée des membres de l'institution. Invitée, la critique du Dallas Observer, Lauren Smart a saisi cette occase  pour s'interroger du même coup  sur la prétention et la  "vacuité décorative" de l'installation même. Son article paraît le 23 janvier dernier.
1

Silence, Technique mixte, 2008-2014. Galerie Anne de Villepoix (ci-dessus) et au Pavillon Vendôme (ci-dessous)

Silence, de Zoulikha Bouabdellah, est constituée d'une trentaine de tapis de prière percés en leur centre d'un trou circulaire laissant apparaître le sol, sur lequel sont posés des paires d'escarpins blancs (ou dorés).
2

Joan Jonas  Light Time Tales, 2014. 

Ht: vue de la partie droite du Hangar Bicocca. Bas: vue partielle de The Shape, the Scent, the Feel of Things (2004/7). Installations, Fondazione HangarBicocca. 

Toutes photos: Agostino Osio. Courtesy Fondazione HangarBicocca, Milan

Joan Jonas est notre fée. Lorsqu'on se déplace au sein de ses opérations magiques--appelons-les des installations-- un coup de baguette se produit, disons.... un miracle.
2

Camera (des années 1930): Bill Rowley. Montage Elaine Summers- l'une des chorégraphes à l'origine du Judson Dance Theater et de ce mouvement d'expansion de la danse vers d'autres disciplines, notamment le cinéma et le théâtre et vers l'extérieur de la salle conventionnelle.

En haut à g. Echoppage de la photographie par la censure sur une photographie parue dans Excelsior n°1813. 2 novembre 1915  Nanterre, BDIC. A droite et ci dessus: Registre de censure des périodiques, 1915. Nanterre.

Haut Vue de la salle 1 du credac. A gauche : Casque de Meduse, 1997 (perles de cristal Swarovski, tissu, fil métal, et bois) et à droite, Créature, 2000-1 (sans son aquarium). En bas dr : Bye Bye Jeff (Stryker) 1998. 

Ci contre g : Bruno Pelassy 

En bas:  Créatures, 2000-1, soie et dentelles évoluant dans un aquarium.

La bonne nouvelle  de cette exposition, c'est qu'on ne sait pas ce qu'on voit.

Avec ses créatures animées, ses perles, ses reliquaires et son film qui trépasse (lentement) à chacun de ses passages, l'exposition de Bruno Pelassy au Credac nous enchante.

7 janvier. Nuit, Place de la République.

des stylos....
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