Apr
28
Jusqu'au 30 avril, Maider Fortuné à la Galerie Martine Aboucaya
(Antigone, photo LBV)
Maider Fortuné « Whispering in distant voices ». Jusqu’au 30 avril, Galerie Martine Aboucaya, 5 rue Sainte Anastase, 75003 Paris www.martineaboucaya.com
Par ses deux bouts, si l’on peut ainsi qualifier les deux espaces les plus éloignés de l’entrée de la galerie Martine Aboucaya, l’exposition de Maïder Fortuné « brûle la chandelle » du personnage, notion qu’elle cultive avec une intensité mélancolique, qui force et qui retient l’attention.
D’un côté, il y a l’image arrêtée, refilmée et puis projetée de Dorian Gray (celui du film éponyme d’après Oscar Wilde), qui semble sans cesse se nettoyer et, de ce fait, renouveler son ambiguité à fleur d’image (Once Forever, 2008).
Maider Fortuné « Whispering in distant voices ». Jusqu’au 30 avril, Galerie Martine Aboucaya, 5 rue Sainte Anastase, 75003 Paris www.martineaboucaya.com
Par ses deux bouts, si l’on peut ainsi qualifier les deux espaces les plus éloignés de l’entrée de la galerie Martine Aboucaya, l’exposition de Maïder Fortuné « brûle la chandelle » du personnage, notion qu’elle cultive avec une intensité mélancolique, qui force et qui retient l’attention.
D’un côté, il y a l’image arrêtée, refilmée et puis projetée de Dorian Gray (celui du film éponyme d’après Oscar Wilde), qui semble sans cesse se nettoyer et, de ce fait, renouveler son ambiguité à fleur d’image (Once Forever, 2008).